L'allaitement c'est pas forcément "rentable"
Un des "arguments" qu'on peut servir pour faire pencher la balance du côté de l'allaitement plutôt que du lait en poudre, c'est de dire que ça ne coûte rien. Certes, on ne va pas au supermarché du coin pour acheter sa bouteille de lait. Mais quand même, ce lait ne sort pas de nulle part, et il faut bien de la matière pour le fabriquer !
Personnellement, je peux vous dire que je mange énooormément, encore plus que pendant la grossesse. Je râle souvent après Bousier lorsqu'il ne me rempli pas assez mon assiette, et il est hors de question pour moi de sauter le(s) goûter(s). Et tout ça sans prendre un gramme, la plupart de mes pantalons d'été sont trop grands (rhoo la pov' excuse pour coudre, hein ;-) ), et à la dernière pesée j'étais en dessous de mon poids d'avant-grossesse. J'ai pu faire un lien direct entre mon appétit et le nombre de tétées : ce matin, Margaux a profité qu'on reste à buller à la maison pour téter davantage, et bam ! méga coup d'hypoglycémie à 11h30.
Et vous, ça vous le fait aussi ?
Cela dit je ne m'en plains pas, moi qui suis plutôt gourmande, je peux me laisser aller à tous les vices gustatifs sans le moindre remord ;-) (tous ?? oui oui, TOUS, car Margaux n'est plus allergique aux PLV, mais ça sera le sujet d'un autre billet un peu plus... consistant !).